Y a pas d’travail pour tout l’monde.. ou plutôt..
Pas pour les paresseux.
Y a d’illégal.. Du
..faut savoir c’k’on veut
ou
Du travail noir *
comme bol d’air
comme leitmotiv
comme nécesstité
comme utilité sociale éduquée
comme injustice
comme intérêt (logique K)
comme justification
comme faible satisfaction
comme exploitation /-eur
/-és
La
réprobation est rare et souvent
mal placée.
ou
Du REFUS -être fâché
pris comme une paresse.. un luxe.
Le travail en noir
est illégal
mais est un moyen
d’affirmation,
de justification sociale.
Du chômage
comme adaptation
comme mode de vie désigné
comme tourner en rond
comme déprime
comme nécessité
comme moyen de pression
comme esclavage
comme contribution à l’exploitation
comme cul de sac du tourner en rond
Le système
K actuel ne dére plus
l’intervention "active"
-càd légale- de plus de 30%
de sa population en âge de travailler.
Qu’il le désire ou non, son incompétence n’est plus à
démontrer.
La paresse, les vacances c’est pas un plaisir de chômeur.
Du travail
comme nécessité
aliénation
exploitation
obligation
drogue
Il me faut mes 8 heures.
Histoire de pouvoir d’achat.
Ma bagnole..
Du concept de travail à propulser aux réalités comme processus révolutionnaires.
De sa redéfinition
collective.
De son adaptation à ses/nos réalités.
De l’abîme entre ce qu’il représente dans la vie des gens
et de ce qu’il représente dans un
bilan d’entreprise, un budjet, une société,
un marché
Des mentalité à
changer ?
Un travailleur apprécie
plus un travailleur noir qu’un chômeur.
La logique des organisations de gauche
traditionnelle & et de gauche révolutionnaire
-partis & syndicats- n’est pas à un quelquonque
intérêt pour les chômeurs.
Tout au plus la défense des chômeurs
âgés & pensions.
De ceux qu’ont eu du travail.
Pas des fainéants.
Tout au plus $, le chômage dérange par la pression faite sur les conditions de travail, l’avenir des enfants.
Un intérêt direct.
* Travail noir, travail au noir, travail en noir..
$ En oubliant les jaloux