En réponse à :
1er janvier 1997, par intersiderale
J’aime bien mettre des mots d’enfant sur des choses d’adulte.
J’aime bien me raconter des histoires.
Je m’imagine qu’il était une fois une ville, une ville très sombre, où plein de gens marchent, sur des longues avenues, comme des automates.
Ils ont l’impression qu’elles n’en finissent pas, ces avenues (ce n’est qu’une impression), ou n’y pensent même pas d’ailleurs.
Ils ne pensent pas non plus que (...)