En réponse à :
1er avril 1997, par intersiderale
Soustraire l’homme à la double contrainte "se tuer de fatigue au travail ou végéter dans le désoeuvrement", dictée par les trop fameuses lois du marché, autrement dit, par les caprices de la finance, passe inévitablement par la réduction du temps de travail.
Si l’on reconnait que la révolution technologique a multiplié par quatre la productivité dans les pays industrialisés ; en distribuant mieux et en organisant différement le partage, on pourrait limiter le travail à 10 (...)